Suite et fin, enfin...
Quelle belle journée, avec ce bleu si clair au ciel. Un clic pour continuer la balade...
C'est pas Charlélie qui a une phrase comme ça dans une de ses chansons ? Ah non, je crois bien que c'est : "on a envie de l'eau, vie de l'eau...". En tout cas, c'était bon, tout ce soleil éclaboussé.
Je prendrai tous mes bras pour t’envahir, m’accrocher, à toi mon roc, belle pierre. Ne me laissez pas mourir, admirez, aimez moi, je gis ici, sous la lumière. Ne les laissez pas faire, même mes bleus ont froid. Solitude
Sympa, de venir poser pour moi...
Comme l'histoire précédente, merci d'éloigner les enfants... Un gars rencontre le simplet du village qui a un grand sourire aux lèvres. - Alors Julien ? Pourquoi as tu l'air aussi heureux ? - Ben, tu sais que j'habite près de la voie de chemin de fer...
Pas loin de là où se trouvent les arbres pannivores, un autre panneau se fait remarquer, par la douce nostalgie qu'il diffuse. Un temps où les voitures étaient rondes comme les jags de mes rêves, les camions bombés, les femmes habillées...
Dans un jardin particulier, des bambous ont poussé. Pas un ni deux, mais bien un large bosquet, profond d'une dizaine de mètres ; en voici l'entrée.
Même pas de vraies parallèles...
Une fois les Pyrénées descendues, la large plaine de Catalogne s'étale devant nous. Soudain, au loin surgit une forme découpée, dentelée comme une île émergée, comme si s'ouvrait devant nous l'entrée d'un monde fantastique, anachronique.